La rue Est

La rue Est passe au travers de la place pour se diriger vers la mairie au bout de la voie et vers le bureau de l'avocat.

13H27, dans la rue Est de la citée, un grand et mince jeune homme s'était arrêté.
Il avait les cheveux blancs et décoiffés, il portait une veste marron clair sur un T-shirt noir et un jean assez sombre.

''Quelque chose cloche...je dois réfléchir...''

Bientôt quinze minutes que j'arpente le village, ou plutôt ''La citée'' comme son nom figure sur ma lettre.
Je commence vraiment à croire que cette ville est abandonnée, se pourrait-il que je sois victime d'une farce ?
Bon, droit devant se trouve la mairie, j'espère trouver quelqu'un là bas...
Les mains dans les poches de ma veste marron, je commence alors à sourire et à prononcer les mots :

''Oui, il y a forcément quelqu'un là bas, j'en suis sûr !''

Confiant, je déplie alors ma lettre sur laquelle est écrite que j'ai été désigné pour devenir le shérif de cette ville.

''Quoique, me demander à moi de devenir shérif...J'ai comme un doute d'un seul coup...''

J'étais à Londres lorsque j'avais reçu LA lettre. Je me souviens avoir d'abord inspecté l'enveloppe blanche ornée de spirales dorées sur laquelle mon nom était inscrit en lettres capitales. Puis intriguée, j'avais finis par l'ouvrir. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je découvris que j'avais hérité d'un poste d'avocate !
J'avais longtemps réfléchis à cette proposition et avais finalement accepté. Je m'étais dit que j'allais surement m'éclater à défendre les condamnés de la ville, même si par sécurité (et parce qu'il était hors de question que je m'en sépare) j'avais également gardé mon emploi de mannequin.

Je m'étais installée il y a peu de temps mais je connaissais déjà tous ceux qui peuplaient la cité.
Et je pouvais affirmer avec certitude que ce n'était pas le cas du jeune homme qui venait de s'assoir près de la mairie.
Après l'avoir observé un certain temps par la fenêtre de mon bureau, je décidais d'aller à sa rencontre. Peut-être s'était-il perdu ? me disais-je tout en avancant à la rencontre du garçon.
-Bonjour, je ne crois pas vous connaitre. Mon nom est Jessalyn, me présentais-je, mon habituel sourire aux lèvres.

En attendant une réponse de sa part, je me mis à l'observer.
Il parraissait avoir le même âge que moi et avait un look assez ... débraillé. Je ne pus m'empecher de penser que tout les deux devions former un sacré contraste. Ses cheveux étaient décoiffés tandis que j'avais lissé les miens, de façon à ce que chacune de mes mèches partent dans le même sens. Il était vêtu d'un jeans et d'un T-shirt tandis que moi je portais une jupe plissée noire et un bustier en dentelle rose. Oui, son style vestimentaire était très différent du mien...Pourtant, je trouvais que le jeune homme avait l'air sympathique... J'espèrais quil serait sympathique ! Ce n'était pas tout les jours qu'un nouveau venu arrivait dans la cité alors j'aurais aimé bien m'entendre avec lui.

-Bo...Bonjour mademoiselle,heu... et bien vous ne risquez pas de me connaître, je viens juste d'arriver ici après avoir reçu une lettre d'invitation...
Oh et bien sur, je m'appelle Yahiko, Yahiko Takigawa, répondit le jeune homme d'un ton plus ou moins nerveux.

-Inutile de me vouvouyer, nous avons quasiment le même âge ! Au passage, bienvenue dans la cité, dis-je afin de rendre le jeune homme plus à l'aise.

Il ne devait pas avoir l'habitude de parler à des inconnus. Moi, j'étais assez sociable. En même temps, on n'avait pas vraiment le choix dans le monde du mannequinat : la seule façon de se faire connaître était d'avoir des relations, de connaître tous les grands créateurs. J'avais donc l'habitude de m'adresser à des personnes que je ne connaissais pas et de les mettre en confiance.

*c'est sûrement pour cette raison que l'on m'a attribué ce poste* pensais-je

-Tu cherchais quelque chose, quelqu'un ? Je peux peut-être t'aider. Je ne suis pas là depuis longtemps mais je connais la cité comme ma poche. D'ailleurs, si tu as un soucis n'hésite pas. Je suis l'avocate de cette ville, mon bureau est situé juste à côté, continuais-je en désignant du doigt le bout de la rue.

J'espérais que le garçon m'accorderait sa confiance. Je ne souhaitais pas vraiment faire ami-ami avec tous les gens de la ville mais je sentais qu'il valait mieux que j'ai ce garçon comme allié que comme ennemi. Je ne savais pas vraiment d'où me venait cette impression mais mon instinct ne me trompait jamais. Encore une fois, je décidais de le suivre.

-Heu...comment dire, en fait j'ai reçu une lettre pour un poste de shérif dans cette ville... lettre qui d’ailleurs est étrange, comment cela se fait-il que l'on demande à un mineur de devenir shérif...
Enfin bref, j’étais juste en train de chercher la personne que je devais voir par rapport à cette offre de devenir shérif, j'aimerai l'accepter car je n'ai pas vraiment de but dans la vie... répondit le garçon beaucoup plus détendu que tout à l'heure, ce qui eut le don de me faire sourire de plus belle.
J'avais fait du bon boulot comme d'habitude. Et puis, mon instinct ne m'avait pas trompé. Un shérif ! Si j'arrivais à me lier d'amitié avec le shérif ma vie serait surement plus simple ! Mon boulot aussi d'ailleurs : je pourrais plus facilement colaborer avec les autorités.

-Ca veut dire que tu vas rester ! m'exclamais-je. Mais c'est génial ! Je ne serais plus la seule "nouvelle" dans la Cité ! Et puis, je suis sûre que tu trouveras ce que tu es venu chercher ici.

Je le regardais de la tête aux pieds.

-Oui le rôle de shérif pourrait te convenir, finis-je par dire avant de revenir au sujet principal de la discussion.

-Je me suis posée la même question pour le poste. Mais j'ai fini par ne plus y prêter attention. Le salaire d'avocat y est pour beaucoup je pense, conclus-je en riant.
Et puis concernant ta lettre, tu devrais logiquement t'adresser au maire mais comme il est absent pour le moment... franchement je ne vois pas. On ne t'as pas donné d'adresse précise ?

Si je posais la question c'était uniquement par principe car je savais parfaitement qu'il n'y aurait pas d'adresse. D'après ce qu'il m'avait expliqué nous avions reçu la même lettre. Sur la mienne n'apparaissait pas l'adresse de mon bureau, juste le nom de la ville. J'avais du retourner toute la Cité pour enfin trouver l'endroit où je devais travailler.
Mais je m'en étais finalement sortie. L'avantage que le jeune homme avait, c'était que je pourrais le guider jusqu'à son bureau si besoin était.

-Ça veut dire que tu vas rester ! Mais c'est génial ! Je ne serais plus la seule "nouvelle" dans la Cité ! Et puis, je suis sûre que tu trouveras ce que tu es venu chercher ici.
La phrase de la jeune fille m'avait fait sourire, il y avait pe de personnes m'ayant dit quelque chose qui ressemblait à des mots comme ceux-ci, elle continua par d'autres phrases dont celle ci :

''Et puis concernant ta lettre, tu devrais logiquement t'adresser au maire mais comme il est absent pour le moment... franchement je ne vois pas. On ne t'as pas donné d'adresse précise ? ''

-Justement, il n'y est mentionné aucune adresse, juste que j'ai été choisi pour devenir le shérif de cette ville.
D'ailleurs, si le maire n'est pas là c'est embêtant...je voulais lui demander en premier lieu ou je pourrais trouver un logement... Dit-je en regardant la jeune fille .

-D'ailleurs, je ne sais pas où se trouve l'endroit où je dois travailler...
Mais si il le faut j'attendrais le retour du maire, de toute façon je n'ai pas d'autre choix.
Les mains dans les poches de ma veste, je me gratte encore la tête et pour la première fois depuis mon arrivée dans la cité, j’esquisse un sourire.

Le rideau de cils s’ouvre durement, sa vision semble s’obstruer et s’obscurcir dans ses moindres mouvements les plus désaxés les uns après les autres. La belle au bois dormant a perdu de sa candeur et reste assise un bon moment sous ce qui semble être sous ses mains une moelleuse couenne. Elle attend un court moment que sa pression artérielle se stabilise et soupire un bon coup avant d’ouvrir ses yeux définitivement. Les images qui se dédoublaient deviennent, enfin, plus qu’une. Ses mouvements sont lents et sa tête pèse si lourd qu’elle dû appuyer la paume de sa main sur sont front en guise de calmant immédiat.

* Mais…qu’est-ce qui m’a mise dans un tel état…* se dit-elle, avant de se poser la question suivante * et où suis-je …* elle fronce son sourcil droit et se dirige comme un zombie vers ce qui semble être potentiellement des toilettes. Elle tourne la poignée du robinet et enfonce sa tête dans le creux de ses mains remplie d’eau froide. Elle relève son regard et peut admirer sa sale tronche dans le miroir.

-Une sacré veille, je dois cro…elle coupe sa propre réflexion à voix haute, lorsqu’elle remarque entre sa serviette une enveloppe ouverte au coin du lavabo. Elle prend le papier et se dirige au centre de la chambre pour se faire un café. Un matin lent, mais mouvementé en question. Néanmoins, Youko n’était pas non plus à sa première expérience et sait qu’elle doit analyser la situation. Seulement, elle espérait au plus profond d’elle-même de ne pas avoir succombé au sacrifice ultime.

Elle analyse la pièce, sa tasse au bord des lèvres, la sensation de chaleur qui en émane la réconforte et elle se réjouit de constater qu’elle est dans une chambre d’hôtel plutôt que chez monsieur ou madame X. * Enfin, encore faut-il espérer n’avoir partagé cette douillette avec personne* se dit-elle le liquide amer en bouche. Un ongle dans l’enveloppe elle en sort délicatement une lettre apparemment adressée à son intention.

‘‘ Chère, mademoiselle Tamamo.
Nous avons l’honneur de vous apprendre et de vous attribuer le titre de l’assistante du shérif au sein de notre humble cité.
Cordialement la cité juridique.’’

Tamamo passe ses doigts délicats entre ses quelques mèches rebelles et a un sentiment de pure niaiserie. Pourquoi, lui proposer un poste d’assistant shérif. Premièrement, ne faut-il pas un casier vierge ? Certes, il n’est pas lourd. Par contre, il n’est pas blanc comme neige. Et puis elle sait très bien que ni son âge et ni ses études ne peuvent lui laisser le loisir d’un tel emploi.

La jeune adolescente dépose sa tasse à moitié vide contre le comptoir et jette avec nonchalance sa lettre. Probablement qu’un soûlon lui avait glissée la veille. Enfin, tant que ce n’est pas un espèce d’incube qui lui avait laissé cette lettre le matin même avant de prendre les jambes à son cou.

Youko se détache du comptoir et déboutonne sa maigre chemise blanche en guise de pyjama, elle le laisse lourdement tomber au sol tandis que son corps est mit à nu seule dans la pièce. À sa grande surprise elle remarque des marques de blessure sous le dessous de son avant bras. Ses grand yeux bleus s’écarquillent, probablement que l’effet de l’alcool encore présent dans son sang ne lui fait pas sentir la douleur. Elle retourne à grande vitesse à la salle de bain et sort de sa sacoche quelques premiers soins. En désinfectant les plaies elle croit remarquer que celle-ci prenait les formes de lettre pour constituer le mot ''EST''. La blessure n’est pas béante, mais elle est bien présente.

L’horreur se dessine sur ses expressions faciales et elle supplie Dieu lui-même de lui avoir épargné sa virginité. Encore plus embrouillée qu’au début Youko prend son linge et l’enfile, elle prend même le temps de lisser ses long cheveux roses et panse sa plaie avant de mettre les pieds dehors. Probablement, que le grand air lui ferait plus de bien. Bouteille d’eau à la main elle salue et remercie le personnel et sort…elle ne sait où en fait. La ville ne lui rappelle rien du tout, encore plus déconcertée elle continue sa marche d’un pas funèbre l’air songeur.

- Je suis probablement dans un drôle de rêve…tente-elle de se convaincre, dans la ville déserte de l’inconnu.

Elle relève la tête et inspecte la pancarte qui identifie la rue EST. Elle penche son regard subtilement dégouté sur son bras. Probablement, pouvait-elle trouver plus de réponse en ces lieux ou peut-être même des gens qui auraient partagé sa chambre. À cette pensé elle fait une maigre grimace, elle espére bien que non. Elle marche jusqu'à la seule présence de vie qu’elle trouve. Elle toussote, afin d'acquérir l'attention des deux jeunes gens.

-Excusez moi si je vous dérange, mais seriez vous...comment dire capable de m'indiquer mon chemin...? demande-t-elle sans problème, mais sans trop savoir ce qu'elle cherchait elle même.

HJ: désolé, pour les temps de verbe à la fin. J'essaye de mettre tout au présent, mais j'ai tendance à dévier et je remarque bien ma hâte de terminer le texte vers la fin...enfin j'avais un sacré facteur de temps je ne désirais pas arriver en retard à mon travail. Peut-être, pourrais-je les corriger demain. En espérant, qu'elle ne vous empêcheras pas trop de comprendre.

-Justement, il n'y est mentionné aucune adresse, juste que j'ai été choisi pour devenir le shérif de cette ville.
D'ailleurs, si le maire n'est pas là c'est embêtant...je voulais lui demander en premier lieu ou je pourrais trouver un logement... D'ailleurs, je ne sais pas où se trouve l'endroit où je dois travailler...
Mais si il le faut j'attendrais le retour du maire, de toute façon je n'ai pas d'autre choix, répondit le jeune homme avec calme.Je ne savais pas comment il arrivait à supporter une situation pareille. J'aurais déjà piqué une crise depuis longtemps à sa place.

-Je peux te conduire à ton bureau si tu le désire, dis-je en haussant les épaules. Comme je te l'ai dit, je connais très bien la ville. Et puis si tu cherches un logement, tu devrais en trouver dans la partie ouest de la ville. Je pourrais te faire visiter tout ça ...

Un toussotement me fit me retourner.

J'aperçus alors une jeune fille de notre âge.

*encore* pensais-je. *Décidement, ce n'était pas une journée comme les autres ! *

-Excusez moi si je vous dérange, mais seriez vous...comment dire capable de m'indiquer mon chemin...? demanda-t-elle.

-Bien sûr, répondis-je automatiquement. Vous vous êtes perdue ? Est-ce que vous cherchez un endroit en particulier ? dis-je, voyant qu'elle ne me donnait pas plus de précision. Je voulais bien l'aider, certes, mais si fallait qu'elle me dise où est-ce qu'elle souhaitait se rendre.

-Je peux peut-etre vous accompagner si vous le souhaitez, continuais-je.

-Et puis, comme ça, dis-je en me tournant vers Yahiko, tu pourras également faire un petit tour dans les environs pour repérer un peu les lieux.

[hrp: je m'en suis occupé Youko. Je t'ai mis tout tes verbes au présent. Après tout je suis là pour ça ^^
Et puis ne t'inquiètes pas ton texte était très clair !]

La jeune fille qui venait d’apparaître devait avoir à peu près le même âge que moi, tout comme Jessalyn, les deux filles se mirent à discuter :

-Excusez moi si je vous dérange, mais seriez vous...comment dire capable de m'indiquer mon chemin...? demanda la fille qui venait d'arriver.

-Bien sûr. Vous vous êtes perdue ? Est-ce que vous cherchez un endroit en particulier ? Répondit Jessalyn.

-Je peux peut-être vous accompagner si vous le souhaitez. Et puis, comme ça, elle se tourna vers moi, tu pourras également faire un petit tour dans les environs pour repérer un peu les lieux.


Je regardais les deux filles puis répondit :

-Et bien avec plaisir, de toute façon cela ne pourra m'être que bénéfique étant donné que je devrais sûrement bien connaître les environs pour exercer mon nouveau métier.
Je te remercie pour ce que tu fait. Encore une fois un sourire parvint à se distinguer sur mon visage.


J’étais content d'être si bien accueilli dès mon arrivée.

-Au fait, il est peut être un peu tôt pour se présenter,mais je m’appelle Yahiko
Yahiko Takigawa pour être plus précis. Dit-je d'un ton amical à la fille qui était perdue.

Il était peut être un peu tôt pour se présenter à une personne qui demandait juste son chemin, mais pour une fois je pensais avoir fait un choix raisonnable.
Peut être que comme moi elle venait d'arriver.
Non, c'est même presque sûr vu que Jessalyn qui a l'air de connaître toute la cité n'a pas l'air de la connaître, elle doit être arrivée depuis peu.

-Heu... est-ce que par hasard vous venez d'arriver dans cette ville ? Continuais-je en parlant à la fille perdue.

J'allais voir si mon instinct m'avais trompé, mais j'étais sûr de mes conclusions.

1er Mars.

Aujourd'hui, rien, comme depuis un bon moment d'ailleurs. Le tableau noir reste désespérément vide de l'inscription tant souhaitée. Si ça se trouve, le bureau va fermer et je vais devoir faire comme Mammouth et bosser ailleurs....

10 Mars.

Enfin, aujourd'hui, c'est la bonne! Enfin je les vois ces lettres, XYZ. C'est le signe qui m'indique que je vais enfin avoir un contrat! Rapidement je note l'heure et le lieu de rendez vous. Arrivant sur place deux heures plus tard, qu'elle ne fut pas ma surprise de ne voir... qu'une enveloppe blanche, fermée d'un cachet de cire. Je l'ouvris sans me presser.

Cher monsieur Saeba.
Je me doute que tout ceci doit vous paraitre étrange, cependant, nous avons l'extrème joie de vous informer que vous avez été choisi pour devenir l'assistant du maire de notre belle cité. Vous trouverez ci joint un plan détaillé menant à la cité.

Consultant rapidement le plan en question, je ne pus que constater... Que ça faisait une trotte mine de rien...Et jamais Kaori n'accepterait de m'accompagner... Je lui en parlais tout de même, et essuyais comme d'habitude un bon coup de massue sur le crâne. C'est donc en faveur de la nuit que j'étais parti. J'avais laissé à Kaori de quoi tenir un bon moment, et avais emporté uniquement mon Python, une boite de 24 balles, et un sac contenant de la nourriture. J'avais à la va vite rédigé un petit mot expliquant mon départ, en espérant qu'elle comprendrait....

12 Mars.

Après deux jours de voyage me voici enfin arrivé. Le plan avait l'air a peu près fiable, et je me retrouve donc dans cette cité.... Etrange... En arrivant, je voyais trois personnes. Dans l'adolescence à peu près, tous. Deux filles et un homme. Et eux, sont ils fiables? Sans faire le moindre bruit, j'armais le chien de mon arme. Autant être prêt à tout. J'approchais un peu et dis une fois que je fus assez proche.

-Excusez moi, je suis bien à la cité mentionnée dans cette lettre bizarre?