Dure rebelle, au coeur tendre

Nom : Tamamo
Prénom : Youko
Sexe : Féminin
Âge : 17 ans.

Lieu de résidence: Dans un petit bloc appartement, hélas un peu salubre avec son père.
Situation Sociale : célibataire, fière et accomplie

Relation familial :
N'a jamais connu sa mère et depuis la mort de son frère à l'armée, la relation entre elle et son père n'est pas des plus gaie.

Parcours scolaire: Dernière année.
Cassier judiciaire: Un peu de vandalisme, mais jamais rien de bien méchant.

Apparence

Youko est une adolescente probablement comme toutes les autres, c'est-à-dire dans sa fabuleuse crise de la puberté. Le chemin si craint des parents entre l'enfant qui vient de naître dans leurs bras et celui de l'oisillon déjà adulte prêt à quitter son nid. Cet âge même où votre père réalise enfin que vous êtes une jeune femme et qu'il continue tout même à s'obstiner au sujet des hommes. Un sujet que Youko n'employait pourtant jamais et dont elle ne comprenait jamais le sens des discussions.Toute fois, qui dit puberté dit aussi crise d'identité et Youko ne manque pas à l'appel. Jeune artiste rebelle celle-ci ne se gène pas, malgré les règlements sévères de son père, de s'habiller comme bon lui semble et de changer la couleur de ses cheveux tous les mois. Bien qu'elle se donne des airs de dur à cuir, elle a un coeur sensible et léger.

De taille moyenne Youko a le teint très pâle et en conséquence supporte mal la chaleur du soleil. Dotée d'une fine carrure celle-ci est bien plus costaud qu'il n'y parait. La jeune demoiselle en question est dotée d'un visage aux joues un peu rondes. Elle arbore le plus clair de son temps des simagrées de toutes les sortes. Sa joie de vivre ne manque pas de transparaître à travers ses grands yeux brillants, d'une couleur identique, parait-il, à ceux de sa mère.

Histoire de votre personnage

Kireru était un homme au fond naïf et comme un enfant il se mettait en colère pour un rien. Il était la racaille de son lycée et les plus faibles avaient beau implorer son courroux ils finissaient toujours par leurs mettre la tête au fond d’une cuvée. Fort heureusement, parfois, la vie faisait bien les choses, car même cette tête brulée ne pu échapper à l’amour.
Kyouki était le nom de cette jeune femme, mais tout le monde la surnommait Kyou. Tandis que l’un était un rebelle de la pire espèce, Kyou était tout son contraire. Elle était l’élève modèle et plus qu’exemplaire, que tout professeur souhaitait avoir dans sa classe.
En fait il n’y avait qu’elle à l’école qui voyait quelque chose de bon en lui et su à sa manière que Kireru pouvait se révéler être un charmant jeune homme. Les années en sa compagnie finirent même par l’attendrir et il devint, avec le temps, un peu plus patient. Ce qui par contre titillait le plus le jeune homme était le manque de foi, de la part de tout ses proches, en leur union.

Le couple devint parent d'un joli petit garçon, très jeune. Bien que d’habitude une naissance est un dénouement heureux ce ne fut pas le cas de notre jeune couple. Hélas, le nouveau venu créa des frictions au sein de la famille, outrée de voir un couple s’épanouir en dehors des zones du mariage. Kireru, prit de panique, excéda de colère et n’eut en échange que le mutisme total des proches de sa conjointe. Alors que celui-ci n’avait déjà pas tellement de famille.
Enfin, jamais l’enfant ne pu connaitre les joies d'avoir une grand-mère et un grand-père, ni même des oncles et des tantes. Toutefois l’enfant ne grandit pas sans amour, bien au contraire. Le jeune homme ne pouvait qu'être comblé de la présence de ses parents, parfois un peu trop surprotecteurs.

La famille prit un sens nouveau pour Kireru tout aussi comblé par sa vie, jusqu’à ce que ce merveilleux jour attendu vira au cauchemar. Alors que le petit garçon attendait impatiemment l’arrivée d’un frère ou d’une sœur, le père raccrocha violement le téléphone. Effrayé par le souffle saugrenu de son père le petit alla se cacher sous les couvertures de son lit et se mit à pleurer tout comme lui, car il lui sembla entendre des sanglots entre les cris. Épuisé par les émotions, l’enfant finit par s’endormir dans l’ignorance. Tandis que Kireru broyait du noir, on lui appris que sa femme avait subit un impitoyable accident d’autoroute et que celle-ci se trouvait dans un coma intensif. Le père ne pouvait s’imaginer seul à élever son fils et sombra dans une dépression où l’illusion de la force de l’alcool lui redonna courage. Toutefois, la mort de sa femme s’ensuivit d'un miracle, une seconde vie.

Nousagi-san fit enfin la connaissance de sa petite sœur et devint le même jour son meilleur ami. Malgré sa grande dépression et l’enfer de l’alcool le père réussit à élever et nourrir ses enfants. Toutefois, il ne gagna pas en retour l’amour et le respect de son second enfant.
Un froid inébranlable s’installa dans tout l’appartement le jour ou son grand frère perdit la vie à la guerre. Jamais plus elle ne pouvait garder l’espoir de le revoir et elle n’avait plus qu’en souvenir son collier de soldat autour du cou.

***

Bien, que Youko n’aimait pas grandement son père elle ne restait pas une fille sans cœur. Elle était plutôt sympathique et charmante et même si la mort de son frère était un coup dur, elle s’en remettrait. La jeune fille vivait sa vie à son gré. En fait, elle la vivait un peu trop gaiement aux yeux de son père qui ne voyait en elle qu’une rebelle. À travers ses yeux qui lui rappelaient sa femme il avait plutôt tendance à revoir son propre reflet. Du moins, c’est ce qu’il croyait. L’adolescente avait beau ce montrer dure et froide envers son parternel, Youko restait à l’école une élève plutôt modèle avec des notes plutôt moyennes. Brièvement, une élève presque normale, même si ses goûts en matière de mode ne l’étaient pas vraiment.

Toutefois, Youko savait être une vrai canaille, seulement quand cela représentait une bonne cause pour elle. Toujours à l’affut des grabuges qu’elle pouvait commettre dans des manifestations, dans le but de faire entendre sa voix. Elle était aussi une vraie artiste dans l’âme dans des moments pareils, plus particulièrement en tout ce qui concernait les graffitis sur les murs de briques…ou toute autre manière de faire passer ses messages. Après, tout ce n’était pas la fille qui parlait le plus de ses états d’âme et son petit dossier judiciaire bien garni de tout ses petits méfaits ne faisaient jamais ni le bonheur ni la fierté de son père qui était devenu bien plus sévère avec le temps. Néanmoins, aux yeux de Youko elle ne devait rien à son père et n’avait jamais de discussion calme avec lui.

C'est parfait tout ça! Il faudrait revoir les tournures de phrases parfois! qui peuvent ne pas être très claire! Mais si tu le permet je peux te corriger quelques trucs!
Autrement c'est parfait et je valide ta fiche!
Le monde de judge s'ouvre à toi!

Pour être honnête, cela ne serait pas de refus... j'ai beau me relire et tout passer sur bon patron. Enfin...bref, mes tentatives mon l'air toujours désespéré, je suis comme une vraie taupe aveuglé par la lumière du jour.

Mdr, j'adore la comparaison! Bien trouvé!
Comme tu me le permet je ferai donc quelques modifications par rapport aux tournures de phrases alors!

Contente de savoir que ma comparaison loufoque te fait bien rire .
Sinon, merci encore et vivement le jeux .

Et voilà je pense avoir assez retravailler ton texte! En espérant que ça te plaira!

Oui, tout est parfait pour je t'en remercie mille fois.

Bonjour, et bienvenue sur le forum. J'espère que tu t'y plaira !

J'ai corrigé les quelques fautes d'orthographe de ta présentation, Odore étant déjà passée avant moi, ca a été très rapide.